Voici les réponses de Pierre Fitzgibbon de la Coalition avenir Québec au même questionnaire soumis aux candidats de la circonscription de Terrebonne des partis représentés au débat télévisé le 13 septembre.
Propos récoltés par Frédérick Kranjec-Larose
Quel type de député serez-vous?
Je pense qu’un député doit être capable de livrer ce qu’il promet au monde quand ils sont au IGA et de leur dire «Je vais être à l’écoute de vos besoins». Il faut voter pour l’individu en premier parce que l’individu est celui qui va être capable de connecter avec toi. Si l’individu a la chance d’être connecté au gouvernement, on laisse les idées se connecter et ça va être plus facile. Les citoyens de Terrebonne méritent d’avoir quelqu’un qui va être à l’écoute de leurs besoins.
Quels sont les dossiers prioritaires pour Terrebonne?
Mon observation avant d’entrer en politique, pour être venu ici depuis un an et demi à Terrebonne Ouest, c’est que Terrebonne a eu une croissance économique supérieure à la capacité des infrastructures. Alors, je pense qu’il faut corriger ça. Il faudra mettre beaucoup d’argent dans l’infrastructure. Le municipal a un budget important pour ça, mais le provincial doit aider. Il va falloir travailler sur la 335 et la 337, l’échangeur sur la 640 vers Urbanova. Il faut faire le prolongement de l’autoroute 19, c’est sûr et certain. Pour les sources de capitaux, je pense que Terrebonne serait un bassin intéressant à proximité de Montréal, un pôle en recherches.
Comment comptez-vous contribuer à faire avancer ces dossiers?
Je souhaite travailler avec Marc-André Plante.
Parmi les thèmes suivants, lequel est le plus important à vos yeux et pourquoi? Environnement, Culture, Économie, Éducation, Santé.
L’environnement parce que, pour moi, c’est intrinsèque à tous les ministères.
Quelles sont les promesses de votre parti qui vous rendent le plus fier? Pourquoi?
Le projet Saint-Laurent parce que la chaîne des capitaux est là pour supporter les entrepreneurs. Il faut attirer des grosses sociétés parce qu’on est bons au niveau de la recherche, où il va falloir mettre beaucoup l’accent sur l’application de ces recherches-là. Il va aussi falloir qu’on se serve de l’intelligence artificielle pour les entreprises. Et pour ça, il va falloir attirer des grosses sociétés internationales qui viennent ici.

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