Portrait de Sophie Bourque, conseillère en communication et vie associative pour Desjardins

Après un parcours mouvementé dans les communications, Sophie Bourque est désormais conseillère en communications et vie associative à la caisse Desjardins Thérèse-de Blainville. Son métier lui fait suivre les courants technologiques et en réaliser des projets qui la rendent fière.

Par Mélody Fortin | Arts, lettres et communication 

Quel est votre parcours professionnel ? 

Je suis originaire de Bécancour, j’ai travaillé un an là-bas à la salle J.-Antonio-Thompson, avant de me diriger à Montréal où j’ai travaillé 20 ans à titre d’agente de communication pour une corporation de développement économique communautaire. J’ai touché plusieurs sphères des communications jusqu’à un organisme communautaire. Dans les communications tu touches à peu près à tout et tu es toute seule dans ta bulle, c’est beaucoup de partenariat. J’ai vraiment aimé. Quand le poste a été aboli il y a 20 ans, je me suis rapproché de la maison. Je voulais rester en communication bien évidemment, mais me rapprocher. C’est là que j’ai vu l’opportunité à la caisse Desjardins Thérèse-de Blainville. Il avait un poste de conseillère en communications et vie associative qui était ouvert. J’ai postulé et j’étais bien contente d’entrer dans le merveilleux monde de Desjardins.

Pensez-vous toujours avoir de nouvelles choses à apprendre ? 

Toujours ! On parlait de nouvelles technologies tout à l’heure : on n’a pas le choix de s’adapter, c’est de nouveaux médiums à chaque fois. Avec Desjardins, on est un peu plus normalisé, mais je pense que tous les jours on a de nouvelles façons de faire, il faut toujours se réinventer.   

Lequel de vos projets vous rend la plus fière ? 

La caisse Desjardins Thérèse-de Blainville fête ses 100 ans de fondation cette année. Je suis très fière de ce que nous avons organisé : on a planté 100 arbres sur le territoire de la caisse Thérèse-de Blainville, on a fait produire 1000 bouteilles de vin qui ont permis de financer quatre organismes jeunesse. On a donné deux bourses pour des projets issue du milieu, une bourse de 10 000$ et une bourse de 5000$ pour réaliser des projets pour la communauté. On a fait installer des stations de réparation de vélo. On a fait moderniser nos bornes électriques. Ce sont toutes des activités pour le territoire qui rendent mon travail encore plus facile, vu que moi je suis au rayonnement de la vie associative, donc c’est de beaux projets à mettre de l’avant. 

Pensez-vous qu’il est difficile pour les futures générations d’intégrer les communications ? 

Avec la pénurie de main-d’œuvre, je pense qu’au contraire, si la personne est déterminée, il y a de l’emploi, elle va faire sa place. Les nouvelles technologies vous êtes nés avec ça vous. Vous n’avez pas besoin de mise à jour comme nous. Vous êtes nés avec les nouvelles technologies, donc au contraire je pense que ça va être plus facile pour vous. 

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