Le travail dans les relations publiques : le parcours d’Isabelle Gagné

Isabelle Gagné nous parle de sa carrière comme conseillère en communication dans son bureau à la ville de Mascouche.

Par Andrea Bustillos | Arts, lettres et communication

Peux-tu nous parler de ton parcours?

En fait, moi, j’ai fait un DEC au cégep en Sciences Humaines. Je n’ai pas été toute de suite attirée par les communications. Mais, c’est grâce à un cours où on avait fait une pièce de théâtre et il y a avait des gens qui devaient faire la promotion de cette pièce de théâtre-là. J’avais choisi d’être dans l’équipe qui faisait la promotion et c’est là que j’ai vu que j’aimais ça, les communications. Parler, faire la promotion des choses et transmettre des messages. C’est ce qui m’a donné le goût de faire la communication. Puis, j’ai fait un BAC à l’UQAM en Communications, profil relations publiques.

Quel est le travail qui te rend la plus fière à la ville de Mascouche?

On touche à beaucoup de projets. Un projet important sur lequel j’ai travaillé c’est le Parc Métropolitain du Domaine Seigneurial. On a aménagé des sentiers puis, j’ai participé à l’inauguration du parc. C’est moi qui ai organisé l’inauguration sur le projet. C’est un gros projet avec beaucoup d’attentes. Un autre beau projet aussi c’est [quand] j’ai participé à la refondre de notre bulletin municipal. On envoie un bulletin municipal chaque mois et j’ai participé à la création de cet outil-là.

As-tu déjà pensé à changer de domaine?

Ce qui est le fun dans les communications c’est que on peut travailler dans toutes sortes d’organisations. Dans une organisation publique, privée, fait que, je [ne] pense pas m’en aller loin des communications. Je pense toujours rester dans ce domaine-là, mais, peut-être, aller communiquer d’autres choses, travailler pour d’autres organisations. Peut-être quelque chose un petit plus humanitaire. À la ville, ce que j’aime c’est qu’on fait quand même une différence dans la vie des gens. Des fois, on communique sur des sujets qui peuvent sembler ennuyants, comme par exemple: “la collecte des ordures”. Des choses comme ça. Mais c’est quand même une information qui est importante pour les gens. Donc, ce que j’aime d’être dans une ville c’est qu’on communique sur des projets culturels, des événements, des fois des aspects plus financiers… et c’est la ville couplage. C’est un petit gouvernement de proximité, mais on touche à plein, plein de sujets, c’est vraiment intéressant. Je travaille avec une super belle équipe. C’est bien le fun.

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