Les Cowboys Fringants: concert électrisant

Les Cowboys Fringants effectuaient un retour sur scène pour la présentation de leur album de musique à grand succès Les Antipodes, le samedi 2 avril, au Centre Bell.

Par Gabriel Rémillard | Arts, lettres et communication

Le groupe de folk et de country québécois a rassemblé, pour une durée d’une heure et demie, 10 000 fans au domicile des Canadiens de Montréal. Tous étaient venus pour une chose: se lâcher lousse, tout le monde ensemble. 

Le concert devait avoir lieu le 27 décembre, mais a été repoussé pour s’exécuter devant un Centre Bell rempli au maximum de sa capacité. Le public attendait le spectacle impatiemment.

Jean-François Pauzé s’apprête à faire du surf de foule pour célébrer le retour sur scène des Cowboys Fringants, le samedi 2 avril, au Centre Bell. Photo: Gabriel Rémillard.

CENTRE BELL MOUVEMENTÉ

L’excitation se fait ressentir dans l’établissement. La foule crie et danse avant même que le groupe fasse son apparition sur scène. Le Vent du Nord, groupe de musique traditionnelle québécoise, est accueilli chaleureusement sur scène pour la première partie du concert. Le rythme s’impose officiellement à la soirée, tout le monde bouge à Montréal.

Arrive alors le tour des Cowboys Fringants de se mettre en œuvre, la foule acclame bruyamment le groupe, brandit des drapeaux du Québec dans les airs et les lumières des téléphones s’allument. 

DIGNE DES PLUS GRANDS SPECTACLES

La mise en scène était digne d’un concert des plus gros groupes de musique américain. L’écran géant à l’arrière des musiciens affichait des vidéos reflétant les paroles des musiques et créait un effet d’immersion dans la chanson.

Le jeu d’éclairage était aussi bien conçu, le chanteur principal du groupe, Karl Tremblay, était suivi en tout temps par la lumière et la couleur des lumières changeait selon l’ambiance de la musique. Pour «L’Amérique pleure», par exemple, les lumières étaient bleues, une couleur calme, tandis que, pour «La traversée», elles devenaient rouges, une couleur pour faire danser et bouger le public. 

Pour clore la soirée, Jean-François Pauzé s’est permis une session de surf de foule, le tout sous le rythme excitant du «Shack à Hector».

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