Des coupes Stanley aux Jeux olympiques, des matchs des étoiles aux matchs des Canadiens, Luc Gélinas a marqué l’histoire de RDS.
Par Zackary Paré | Arts, lettres et communication
Comment vous préparez-vous avant chaque reportage?
Bien en fait, la préparation c’est le plus important, sauf que dans la routine de la couverture du Canadien de Montréal, c’est pratiquement de l’acquis parce que je suis là tous les jours! J’ai un petit livre, je suis old school, j’ai des chums qui gardent ça dans leurs ordinateurs. Je note tous les trios, tout ce qui arrive de particulier, même chose aux entraînements, je regarde toutes les parties!
Pouvez-vous me décrire une journée inhabituelle dans votre travail?
Inhabituelle! Bien c’est quand il y a une transaction ou un congédiement, que c’est pas prévu… T’as ta petite journée, ta petite routine, tout est beau, et puis soudainement, bien il arrive quelque chose d’imprévu! Puis c’est ce qui fait que dans notre travail un n’est pas dans une routine. Quand il arrive quelque chose d’inhabituel, c’est l’fun! Souvent ça arrive quand on est sur la route.
Mis à part votre métier de journaliste, vous avez écrit des livres. Où avez-vous trouvé votre inspiration?
Ça a commencé quand j’ai eu à peu près 35 ans, ça faisait quelques années que je couvrais le Canadien, que j’étais dans la Ligue Nationale, puis j’étais dans une zone de confort. Je voulais me prouver à moi-même… Surtout, que j’étais capable de faire plus que des 2 minutes de reportage à Sports 30.
Quel événement avez-vous le plus aimé couvrir à RDS?
Il y en a eu des affaires! Il y a eu le retour de Lemieux, le retour de Koivu, la coupe Stanley en 93, j’ai vraiment été chanceux au fil des années!
Texte produit dans le cours Métiers de la communication dans le programme Arts, lettres et communication, option Médias.
Ô Courant 