Comme bien d’autres secteurs, celui de l’automobile n’a évidemment pas été épargné par les conséquences de la pandémie. Délais de livraison, annulation de salons de l’auto, ce secteur doit se réinventer comme tous les autres pour éviter que les pertes monétaires soient trop grandes.
Par Jérémie Cloutier
Suivant la fin de l’année 2020, les problématiques liées à la pandémie mondiale sont encore bien présentes dans la société. Les grandes industries, comme celle de l’automobile, subissent encore des répercussions de cette crise globale, malgré le redémarrage des activités.
PROBLÈMES D’APPROVISIONNEMENT
Lors des débuts de la pandémie, une des plus grandes craintes entourant le secteur automobile était le risque élevé de délais et d’impossibilités entourant la fabrication et l’expédition de composantes nécessaires à la fabrication des véhicules dans les usines.
Les craintes étaient fondées: certains pays possédant des manufactures de pièces et d’autres composantes, comme la Chine et le Mexique, n’ont pas été en mesure de fournir ces items dans les délais normalement prévus.
DÉVOILEMENTS MODIFIÉS
Le mode de dévoilement de certaines nouveautés automobiles a été ou devra être repensé afin de répondre aux directives émises par les différents responsables de la santé publique à travers le monde. Les présentations de nouveaux modèles dans des salons automobiles, par exemple, ne sont pas considérées en ce moment comme quelque chose qui sera possible, puisque c’est interdit par les autorités.
Les conséquences de la pandémie sur le secteur automobile sont majoritairement monétaires. Une des causes de cette perte d’argent est le fait que bon nombre de concessionnaires n’ont pas reçu de nouveaux modèles pendant une importante période de temps. Ces derniers ont même dû fermer lors des débuts de la crise.
Ô Courant 