Une friperie a eu lieu au Cégep à Terrebonne les 26 et 28 mars à l’initiative de la Fondation David Suzuki. L’argent récolté lui sera versé pour ses prochains projets.
Par Jessie Piché
Le cégep voudrait que la friperie devienne une activité permanente, dit la conseillère à la vie étudiante, Élise Gingras. Après ce succès, elle reviendra assurément la session prochaine. «C’était pour un but environnemental et aussi pour aider certains étudiants qui sont dans le besoin, qui n’ont pas les moyens de s’acheter des vêtements à plein prix dans les boutiques», dit Élise Gingras.

BEAUX, BONS, PAS CHERS
Les articles à un dollar étaient les plus populaires auprès des étudiants. «J’ai vu un chandail du Canadien, ça ne coûte pas cher ici, c’était un dollar, et habituellement c’est 200 $, se réjouit l’étudiante Laurie Lépine.»
«J’aime vraiment ça magasiner dans les friperies en dehors de l’école alors je voulais voir à quoi ressemblerait celle du cégep, mentionne l’étudiante Megan Lévesque. J’aime bien, les vêtements ne sont pas chers, seulement un dollar chacun.»
114 VISITEURS RAVIS
Le comité environnement est satisfait de la première édition de la friperie éphémère. Ils ont reçu 114 visiteurs, tous sensibilisées du même coup à l’achat de vêtements seconde main. Deux étudiantes ont gagné des certificats cadeaux d’une friperie de Terrebonne. «Une façon écologique de refaire sa garde-robe pour le printemps», se réjouit Élise Gingras.