Mes souvenirs reliés à l’Halloween de mon enfance sont heureux. Chaque année, j’étais contente lorsque cette période de l’année arrivait.
Par Émilie Bordonado
Je ne connais pas la raison, mais je me déguisais chaque année avec le même costume, soit des déguisements de clown. Sinon, j’en portais un de princesse. Ce qui est assez commun, je l’avoue. Pour moi, c’était comme un jeu.
J’AIME LES MASCOTTES
En fait, j’adorais les mascottes. Mes parents m’ont raconté que, lorsque j’ai visité Disneyworld, j’étais dans les défilés et dansais avec eux.
Par ailleurs, je dois avouer que j’avais peur des chiens, alors ma visite pour aller chercher des bonbons était assez brève. Je regrette un peu d’avoir eu cette peur, car sinon, j’aurais eu davantage de plaisir à chercher des bonbons à l’Halloween. Je ne connais pas les origines de celle-ci.
Pendant la journée d’école, j’avais beaucoup de plaisir comme les autres enfants à faire les activités proposées.
LA VISITE DE MA FAMILLE
De plus, mes grands-parents venaient passer la soirée chez nous, alors c’était une période festive et familiale. Pendant que nous allions chercher des bonbons, mes grands-parents en donnaient à notre porte. De plus, ceux-ci étaient présents pour souper avec nous.
J’ai arrêté de passer l’Halloween à 15 ans. Je pense qu’à un certain âge, nous devrions arrêter de recueillir des bonbons, mais ce n’est qu’une opinion personnelle.
J’ai trouvé une statistique amusante : selon le site de Statistique Canada, en décembre, les détaillants recueillent 478,5 millions de dollars pour la vente de bonbons au Canada.
Photo: Émilie Bordonado.