Deux étudiantes en Arts, lettres et communication, Justine Bérubé et Daphné Parent, ont présenté, dans le cadre de la Semaine des éveilleurs de conscience, une entrevue avec Justin Kingsley, le 4 avril. L’écrivain, stratège, directeur artistique et photographe a donné son opinion de façon très crue sur des thèmes du monde des communications.
Par Amélie Roy
«Si derrière chaque grand homme, il y a une femme, derrière chaque grande campagne publicitaire, il y a Justin Kingsley», a résumé l’étudiante d’Arts, lettres et communication, Justine Bérubé.
Malgré son agenda très chargé, le cerveau derrière l’image publique de Georges St-Pierre a accordé 1 h 30 de son temps aux étudiants du Cégep à Terrebonne pour parler du domaine des relations publiques.

ÇA PASSE OU ÇA CASSE
L’entrevue dynamique et vivante était divisée en quatre sections et Justin Kingsley devait prendre position sur des sujets de relations publiques. La première section était courte, il se prononçait sur des sujets précis comme les influenceurs virtuels.
La seconde section, «Ça passe ou ça casse», était plutôt cocasse. Les deux animatrices présentaient des publicités à caractère drôle et Justin Kingsley devait déterminer si le côté humoristique de la vidéo était utilisé à bon escient.
PIMP-MOI ÇA JUSTIN
La troisième section de l’entrevue était le confessionnal de Justin Kingsley. Il s’est confié sur des sujets beaucoup plus intimes, tels que ses plus grandes réalisations et ses plus grandes déceptions. Il prône la gestion du stress et il a affirmé que la méditation lui a sauvé la vie.
La dernière partie de la conférence, «Pimp-moi ça Justin», consistait à présenter des campagnes de relations publiques de gestion de crise comme l’affaire Éric Salvail. Ses conseils dans ces situations resteront sans réponse puisque c’est bien le seul sujet sur lequel il ne s’est pas confié.