La mort de la presse imprimée : bombe à retardement

Le nombre de lecteurs qui consultent leurs journaux quotidiens ou hebdomadaires de manière traditionnelle, au Québec, a diminué d’environ 40% depuis 10 ans.  Cette chute est responsable de la baisse de revenus publicitaires, ce qui explique la disparition des journaux imprimés. 

Par Camille Arsenault | Arts, lettres et communication

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