Daniel Bisson, passion prise de sons

Daniel Bisson raconte sa passion pour son métier de preneur de sons en bruitage et explique en quoi consiste son travail. Il fait part de son cheminement.

Par Mia Larivière | Arts, lettres et communication

En quoi consiste votre métier?

J’enregistre des sons qui proviennent du bruiteur. Il y a un bruiteur qui fait des pas ou qui fait toutes sortes de sons humains et moi je l’enregistre.

Pour quelles entreprises pouvez-vous travailler et que font ces entreprises?

Je peux travailler pour plusieurs entreprises parce que je suis un pigiste, mais, présentement, je travaille chez les studios MELS. Ils font de la production sonore. Du début du tournage jusqu’à la post-production sonore puis, nous, nous refaisons les trames sonores.

Comment avez-vous trouvé ce travail?

Grâce à un contact. Cela a été une chance. J’ai rencontré quelqu’un qui était dans le domaine puis il m’a donné cette opportunité, car, je le remplaçais. 

Quelle est la plus grande difficulté dans le métier?

C’est de faire coller les sons à l’image donc, si un personnage part de loin en marchant, le bruiteur marche sur place et puis moi je fais les perspectives. Donc, si mon plus gros défi c’est de faire coller les sons à l’image pour que cela paraisse naturel.

Quel est votre horaire de travail?

Les horaires de travail sont normaux. Normalement c’est de 9 à 5 heures. Par contre, souvent je dois travailler le soir et les fins de semaines.

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